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Message ysarill
Jeu 23 Sep - 19:16
Bien placé au sein de l'organisation, bien marié aussi et convenablement, il connu ses premiers corps féminin au sein du bordel du "Le Miel et La Chair", le bordel le plus réputé de la cité. C'est là bas par ailleurs qu'il fera connaissance de Maiden Aguerdieu, une jeune femme qui avait l'oreille de beaucoup =et avec qui il se lia d'amitié outre le fait qu'elle lui permettait de lâcher prise....
Aujourd'hui, il a des soucis d'homme de son âge : sa fille doit trouver un bon parti, il a un fils qui ne fait que des conneries et qu'il espère voir rentrer un jour dans les rangs (du bouclier d'argent surtout) etc etc.
@"Maiden Aguerdieu" - Précieuse amitié, si autrefois Maiden était celle dont il se payait les services, il a du cesser pour se consacrer à d'autres demoiselles de petite vertu. Maiden étant la propriétaire du bordel désormais, il sait qu'elle ne se vends plus, il apprécie ceci dit le caractère de la jeune femme et il sait qu'elle a la confidence de beaucoup de personnes importantes qu'elle ne délivre pas si facilement mais parfois, cela lui est bien utile! Et puis, parfois encore, elle lui accorde quelques séances...qui font du bien!
@"Sagremor D'aigresang" - Rival, depuis toujours les d'Aigresang et les [nom libre] sont des rivaux. Opposition ancestrale, rivalité de tous temps, il y a entre les deux hommes une froide compétition, qui est ancré au sein de leur famille et d'eux même désormais.
Re: Message ysarill
Jeu 23 Sep - 19:16
Roy FOGO
Réfléchi
Secret
Autonome
Extrémiste
Entêté
Audacieux
Fier
Franc
Intraitable
Acariâtre
Au sein de l'ordre : Masque de panthère noir et doré.
Sa sorcellerie lui sert surtout à soigner, régénérer les tissus, couper le feu, apaiser les maladies chroniques. Une sorte de médecine profane basée sur la magie qu'il ne peut pratiquer dans la cité que dans la plus grande discrétion, sur les membres de l'ordre le plus souvent, où sur certains animaux à condition d'être suffisamment malin pour réussir à le dissimuler. A l'extérieur de la ville quand les conditions le permettent, les ruraux étant plus souple avec les pratiques païennes, ils sont parfois prêt à fermer les yeux. Une pratique plutôt utilitaire qu'offensive avouons-le, mais qu'il a élevé au rang d'art, et qui a fait sa notoriété au sein de l'ordre. Au point qu'il est presque incontournable pour toutes les actions armées, en arrière ligne certes mais pas moins essentiel pour autant.
Des pouvoirs bien pratique, qui permettent de faire pencher la balance, qui ont cependant une limite évidente : celle du temps. Il est si long de lancer un sort, formule, glyphe, ingrédients, rituel que Cinq ne peut s'en servir spontanément au milieu d'une confrontation, en prenant la fuite ou dans une foule. Non il faut une lente et longue préparation.
Roy côtoya donc peu sa mère. Il grandit sous la protection et les enseignements de son père, plus âgé. Vivant dans un autre monde. En effet, le père de Roy est un académicien. Il est érudit et il enseigne la sorcellerie à l'Académie des Arts et des Sciences. Son enseignement bien sûr reste purement théorique et concerne essentiellement le tracé des formes et des figures nécessaires à l'exécution d'un sortilège. L’axe de son enseignement par d’un postulat : que les composantes sanguines et matérielles de la sorcellerie ne peuvent suffire et se soustraire à la formulation précise verbale de la formule, et au tracé précis du symbole magique. La plupart des effets secondaires, et autre malédictions subies par les sorciers pratiquant seraient donc liés à l'imprécision de ses deux éléments : formule et symbole. Jusqu'alors on avait tendance à attribuer les effets secondaires à la pureté des composantes matérielles ou tout plus largement au caractère profanatoire et prohibé de la pratique. Sa théorie est donc largement controversée parmi ses pairs mais qui elle donne du crédit à son poste d’enseignant, et explique la présence de son cours sur les glyphes, quand bien même la pratique est interdite. Puisque toujours d’après cette théorie, une incantation parfaite, et un glyphe parfait permettrait de solliciter un pouvoir plus propre, et donc sans effet secondaire. Théorie purement hypothétique et aujourd'hui totalement infondée malgré des années de recherche.
L’histoire de Roy prend un tournant à l'âge de 13 ans, quand sa mère contracte une maladie grave affectant ses poumons. Le symptôme principale étant une toux persistante et répétitive. Avec le temps, la toux est devenue de plus en plus courante, de plus en plus bruyante et les crises de plus en plus longues. A tel point qu’elle finit par ne plus pouvoir se rendre au temple. Grâce à leur réputation et leur influence, le couple n’eut aucun mal à faire venir toutes sortes d’apothicaires, de médecins et de rebouteux. Et bien sûr il n’y a pas un jour ou le patriarche n’emmena pas son fils prier pour le rétablissement de sa femme. Mais en dépit de tous leurs efforts rien n’y fit, la maladie gagnait du terrain, et quand elle se mit à cracher du sang, même Roy comprit que ses jours étaient comptés. Le petit Roy passait presque tout son temps au chevet de sa mère, ou au temple pour prier. Mais en vain. En quelques mois elle fut emportée. Et en regardant sa mère étendue sous ses yeux Roy se posa une question, une question qui le hantera toute sa vie : le dieu du vent était-il directement lié ou indirectement responsable de la maladie de sa mère ? A la voir étendue là, les yeux vitreux, les lèvres sèches crevassées à l’extrême, du sang à la commissures des lèvres, le visage déformé par une ultime grimace de douleur. Mais surtout à voir ses deux merveilleuse ailes, jadis d’un blanc immaculé, aujourd’hui d’un gris cendre. Si le divin avait à ce point altéré son corps, en le transformant, pourquoi le pouvoir n’aurait pas atteint ses poumons. Il était le dieu du vent, elle avait une maladie des poumons. Le raisonnement faisait sens.
Après les funérailles, Roy fit part de son hypothèse à son père, mais à peine l'avait-il évoquée qu’il rencontra la plus vive contestation. L’académicien rejetait avec hargne cette idée farfelue, et rappela à son fils que tout ce que les hommes avaient été donné par les dieux. Mais la graine de cette idée avait déjà germé, et la discorde que suscitait cette idée devient cancéreuse. Tout en évitant le conflit Roy perdit foi en son père, et les années creusèrent un écart trop important entre leurs opinions, désormais Roy a l’impression que son père n’est plus qu’un étranger, l’ombre de celui qu’il était jadis. Celui-ci a d’ailleurs cessé d’enseigner, rattrapé par son âge avancé, même si son nom figure sur quelques livres le nom de Fogo n’est plus aussi inéquivoque qu’il y a quelques années.
Roy fut scolarisé à l’académie. Il était fasciné et très studieux dans toutes les matières liées à la sorcellerie, excellant dans la plupart d’entre elles. Mais quand il s’aperçut de ses pouvoirs, heureusement dans le secret, il prit la décision radicale mais nécessaire de le cacher à tout prix. Bien qu’il mit tout en œuvre pour développer son accointance avec la sorcellerie, il prit soin de choisir un cursus éloigné pour qu’aucun soupçon ne pèse sur lui. Ce qu’il appris de plus se fut seul, grâce à la bibliothèque de l’académie et les discussions avec son père. Mais ses études elles s'orientaient plutôt vers les sciences, et plus particulièrement la botanique, la physiologie animale et la médecine. Une formation qui lui a permis aujourd’hui d’exercer le métier vétérinaire auprès de beaucoup d’éleveur, de dresseur et de propriétaires. Un métier bien pratique puisqu'il justifie ses sorties hors de la cité pour le soin des troupeaux et l'approvisionnement en matériel alchimique et botanique pour la préparation des onguent et décoctions curatifs.
Mais l'histoire de Roy c'est surtout sa lente et progressive ascension dans les hautes sphères de l'ordre de la flamme. D'abord apprenti sorcier, seul et autodidacte, il était témoin des actions coup de poing de certain sorcier pour revendiquer leurs pratiques. Un terrorisme plus ou moins virulent, toujours hautement contesté, et sévèrement réprimé mais toujours associé à un nom : l'ordre de la flamme. Intéressé de trouver parmi ceux là des conseils ou même un mentor pour se perfectionner Roy se mit donc à la recherche de membres de l'ordre. Par chance il put finalement reconnaître certains d'entre eux dans un village de pêcheurs tout près des remparts de la cité. Ils revenaient d'un long voyage et prenaient une pause avant de regagner l'arche. Roy était là par hasard pour soigner la mule d'un villageois et il vit l'un de ces voyageurs pratiquer un peu de sorcellerie pour sécher leur vêtements. Il s'approcha et dû gagner leur confiance en soignant leurs montures par la magie, prenant le risque de se révéler. Un risque qui s'avéra payant. C'est eux qui organisèrent son introduction auprès du reste l'ordre quelques jours plus tard. Il dû se présenter masqué à un rendez-vous incertain. Mais il y avait bien quelqu'un ce jour là. On lui expliqua les règles, il du se choisir un surnom et se créer un masque définitif. Dorénavant il serait braise de l'ordre. Il trouva dans cette tradition d'anonymat masqué un écho à ses propres secrets. Et dans leur idéaux un encouragement à ses plus folles théories. Il se plongea dans la cause avec un dévouement total, par un activisme violent, et un terrorisme audacieux. Il a trouvé plusieurs mentors parmi eux, se perfectionnant dans son domaine : la sorcellerie qui affecte le corps (humain ou animal). Voilà maintenant près de dix longues années qu'il participe activement et la consécration de ses efforts est toute récente puisque sa maitrise de la sorcellerie est maintenant reconnue. Il vient en effet d'accéder au rang de Brasier, le cinquième et dernier d'entre eux, remplaçant son prédécesseur exécuté par le trop efficace bouclier d'argent. Un titre honorifique pour Roy qui l'endosse avec humilité et gratitude conscient du poids et du danger qui repose maintenant sur sa tête.
Oniros
- Code:
Michael B. JORDAN - @"Oniros"
- Code:
FOGO
- Code:
Roy
- Code:
Palefrenier / vétérinaire- @"Oniros"
- Code:
<div class="SOUSTITRE">Ørrodrin LE FIGEFLEUVE</div>
►Roy FOGO"
Re: Message ysarill
Jeu 23 Sep - 19:16
Je suis un titre
- Code:
<div class="TITRE"> ...</div>
Je suis un sous titre
- Code:
<div class="SOUSTITRE">...</div>
- Code:
<MYS>...</MYS>
Re: Message ysarill
Jeu 23 Sep - 19:17
Tu es validé(e)
Nous célébrons ton arrivé en Ysarïll mon ami(e) , je t'en prie, prends place et écoute mes conseils avisés.
►N'oublie pas de soigner les détails de ton identité, que nous puissions discerner les informations nécessaires sur tes papiers.
► Ceux qui veillent en ces terres te conseillent de te rendre par ici pour toutes requêtes.
►Prends le temps, durant ton aventure, si tu apprécies cela, d'écrire ton évolution. Que les bardes puissent chanter leurs ballades sur toi. Ou tout simplement dépenser les points que tu auras gagné!
►Si jamais tu as besoin de trouver comparses à ta destinée, alors suit ce chemin
Voilà tout ce que je peux te conseiller...
- Code:
<div class="TITRE"> Tu es validé(e)</div>
Nous célébrons ton arrivé en Ysarïll mon ami(e), je t'en prie, prends place et écoute mes conseils avisés.
►N'oublie pas de soigner les détails de ton identité, que nous puissions discerner les informations nécessaires sur tes papiers.
► Ceux qui veillent en ces terres te conseillent de te rendre par [url=https://les-mythes-d-ysarill.forumsrpg.com/f11-communications-avec-le-staff]ici[/url] pour toutes requêtes.
►Prends le temps, durant ton aventure, si tu apprécies cela, [url=https://les-mythes-d-ysarill.forumsrpg.com/f10-gestion-des-personnages]d'écrire ton évolution[/url]. Que les bardes puissent chanter leurs ballades sur toi.
►Si jamais tu as besoin de trouver comparses à ta destinée, alors suit ce [url=https://les-mythes-d-ysarill.forumsrpg.com/f4-les-habitants-attendus]chemin[/url]
Voilà tout ce que je peux te conseiller...
Re: Message ysarill
Jeu 23 Sep - 19:19
Les ordres
Les ordres prennent des formes très diverses et variées. Nous allons essayer de synthétiser quelques-uns des plus importants.
Les cultes
Qui dit ordre dit prêtres et cultes. Chaque Dieu incarné dispose de ses propres prêtres et prêtresses qui obéissent à des règles communes à tous les cultes, bien que chacun ait ses mystères et rituels.Leur hiérarchie se divise en quatre rangs :
Le célibat n’est pas une obligation, et se marier est tout à fait possible, toutefois, il est de coutume d’éviter de mélanger sacerdoce et vie de famille, donc sans être la norme, les prêtres et prêtresses restent le plus souvent célibataires.
Pour ceux décidant de se marier, il est de coutume, généralement, de prendre comme compagnon ou compagne une personne extérieure aux cultes.
Seuls les prêtres et prêtresses et leurs supérieurs, sauf exception particulière, peuvent approcher la divinité qu’ils et elles servent.
Une petite subtilité concernant les prêtres et prêtresses : les dieux ont pouvoir étrange qui se manifeste sur leur entourage. En effet après avoir servi longtemps une divinité, certaines caractéristiques apparaissent. Il y a cinq types de modification selon la divinité vénérée.
- Pour les ouraniens, des ailes se déploient dans le dos des prêtres et serviteurs du dieu leur permettant même de voler, ou se mettent à briller légèrement
- Pour les chtoniens, les oreilles s’affinent pour finir en pointe, ou des crocs se développent à la place des canines, voir, plus rare, une langue bifide reptilienne.
- Pour les aethérés, les manifestations sont liées aux cheveux, en effet, ceux-ci, ont des couleurs de cheveux qui peuvent être extrêmement variées.
- Pour les pontiens, une ligne d’écaille s’étant tout le long de la colonne vertébrale. Chez certains, c’est doublé de branchies fonctionnelles.
- Pour les infernaux, on considère deux modifications : certaines obtiennent une peau qui est semblable à du cuir au toucher mais qui se révèle ignifugé, pour les autres, tout est dans les yeux, les yeux virent à l’orangé, voire au rouge.
- Pour les chtoniens, les oreilles s’affinent pour finir en pointe, ou des crocs se développent à la place des canines, voir, plus rare, une langue bifide reptilienne.
- Pour les aethérés, les manifestations sont liées aux cheveux, en effet, ceux-ci, ont des couleurs de cheveux qui peuvent être extrêmement variées.
- Pour les pontiens, une ligne d’écaille s’étant tout le long de la colonne vertébrale. Chez certains, c’est doublé de branchies fonctionnelles.
- Pour les infernaux, on considère deux modifications : certaines obtiennent une peau qui est semblable à du cuir au toucher mais qui se révèle ignifugé, pour les autres, tout est dans les yeux, les yeux virent à l’orangé, voire au rouge.
Les enfants des prêtres peuvent avoir certaines caractéristiques aussi, héritées, mais c’est la seule génération qui en hérite. En outre, une seule caractéristique « difforme » peut être transmise au fils.
Les Chevaliers de la Lame Brisée
Les chevaliers de la lame brisée sont un ordre de chevalerie qui, contrairement à son nom, n’accepte pas que des chevaliers au sein de leurs rangs. Ce sont des hommes et des femmes chargés de protéger les routes des villages. Ils sont souvent appelés les chevaliers errants car ils voyagent beaucoup.C’est l’ordre le plus nombreux et pourtant le moins représenté à l’Arche. Militariste, cet ordre se rapproche d’une petite armée avec une grande liberté de mouvement.
Sa hiérarchie est la suivante.
Ils reçoivent une solde correcte, de quoi vivre normalement, mais sans plus. Beaucoup de criminels ont choisi de rejoindre la piétaille pour éviter de subir la justice de l’Arche
Parmi les hommes du rangs, on considère qu’il y a aussi les grades de sergent, dirigeant un groupe d’infanterie et de capitaine, dirigeant plusieurs sergents au sein d’une compagnie.
Ils disposent d’une solde supérieure, bien sûr, suffisante pour s’entretenir eux et leur monture. Si un Lancier perd son cheval, il est réintégré dans la piétaille.
Les chevaliers ne montent pas de chevaux, mais des reptiliens.
Tous les chevaliers ont pour blason une épée verticale, pointe vers le bas, fendue en diagonale au milieu.
Les chevaliers de la lame brisée ont plusieurs petits privilèges et obligation :
- Chaque village est tenu de leur offrir gite et couvert, même du pain sec dans une grange.
- Ils sont libres de se déplacer dans la limite des ordres de mission et libres d’accomplir cette mission comme ils l’entendent.
- Les chevaliers disposant de suffisamment de fonds peuvent « troquer » leur reptilien contre une autre, volante, les Reptiliens. Toutefois ils sont en nombre restreint et sont tous indépendants et directement sous les ordres du commandeur.
- Ils ne peuvent refuser de protéger quelqu’un qui est en danger
- Ils n’ont pas le droit de pénétrer les confins gelés sans autorisation express et signée du commandeur.
- Ils ne peuvent porter l’épée, mais compensent par d’autres armes.
- Ils sont libres de se déplacer dans la limite des ordres de mission et libres d’accomplir cette mission comme ils l’entendent.
- Les chevaliers disposant de suffisamment de fonds peuvent « troquer » leur reptilien contre une autre, volante, les Reptiliens. Toutefois ils sont en nombre restreint et sont tous indépendants et directement sous les ordres du commandeur.
- Ils ne peuvent refuser de protéger quelqu’un qui est en danger
- Ils n’ont pas le droit de pénétrer les confins gelés sans autorisation express et signée du commandeur.
- Ils ne peuvent porter l’épée, mais compensent par d’autres armes.
Les Chevaliers du Bouclier d’Argent :
Grands rivaux et meilleurs ennemis des chevaliers de la lame brisée, les chevaliers du bouclier d’argent, eux, sont tous nobles de naissance. Ils sont chargés de la protection de l’arche en tant que telle. Rarement exposés au dangers ils sont souvent vus avec des armes et des armures rutilantes sans la moindre bosse ni rien. Le principal intérêt ? Le prestige, déjà, et les bénéfices financiers. En outre, les jeunes nobles y faisant tous ou presque un passage au sein de cette « garde d’élite », pour beaucoup, ça a un côté réseautage, on s’y fait des connaissance, on forge des alliance, voir, pourquoi pas, on trouve de bons partis de riches familles…Et c’est un bon moyen d’apprendre la discipline et l’esprit de groupe aux jeunes, non ?
Pour d’autres, c’est aussi une solution, car au pied du mur, devenir chevalier du bouclier d’argent best un moyen de s’assurer une vie confortable. Et puisque les chevaliers de la lame brisée font tout le travail à l’extérieur…
Au sein de l’ordre, la hiérarchie est simple :
L’Ordre de la Flamme :
De son nom complet l’Ordre de la Flamme de la Libération, il s’agit d’un mouvement secret et souterrain de sorciers et sorcières ainsi que d’érudits ou de gens du commun pro-sorcellerie. Ils sont tous là pour une seule chose : faire accepter par tous les moyens la sorcellerie, qui est une chose qu’ils estiment naturelle. Si beaucoup vivent dans les villages en périphérie de l’Arche où elle est « tolérée », et de manière pacifique, sous la forme de guérisseurs ou autres bienfaiteurs de la population, d’autres ont d’autres objectifs… pas de tuer le Dieu-Roi, bien sur que non, c’est impensable, mais forcer, par tous les moyens, à faire accepter la sorcellerie à l’arche, quitte à user du terrorisme pour cela.L’ordre est secret et nul autre personne que les membres ne savent se reconnaitre. le seul moyen de reconnaitre un adepte de l’ordre de la flamme est d’utiliser la sorcellerie.
La hiérarchie est simple et tous les adeptes se retrouvant doivent le faire masqués. Cette hiérarchie se base sur la puissance en sorcellerie et sur la volonté de revendication. Tout simplement.
La Confrérie de la Pierre :
L’Ordre de la Pierre est né d’une dissension entre un brasier et ses quatre confrères. Il trouvait les méthodes de la Flamme trop brutales, trop violentes, il estimait que la passivité les ferait gagner, et qu’il suffisait d’attendre le bon moment. Il réunit autour de lui des érudits de touts les domaines pour commencer à discuter et échanger de la meilleure manière de faire reconnaitre et accepter la sorcellerie par tous, avançant par petite touche. Leur dernière réussite ? L’académie des arts et des sciences dispose désormais de son cursus sorcellerie théorique. C’est un sacré pas en avant n’est-ce pas ? Le prochain sera plus grand encore. Mais chaque chose en son temps.L’ordre est collégial et est surtout impliqué dans deux projets :
- La reconnaissance de la sorcellerie par les autorités en tant qu’art acceptable à part entière, légal et appréciable.
- Limiter les dégâts de l’ordre de la flamme en s’opposant à elle.
Le problème pour limiter les dégâts c’est que l’ordre de la pierre se soucie de rester dans la légalité, aussi, voir-t-on parfois hors de la ville un « combat de sorcier » qui oppose deux individus d’ordres opposés.
- Limiter les dégâts de l’ordre de la flamme en s’opposant à elle.
Le problème pour limiter les dégâts c’est que l’ordre de la pierre se soucie de rester dans la légalité, aussi, voir-t-on parfois hors de la ville un « combat de sorcier » qui oppose deux individus d’ordres opposés.
La hiérarchie est la suivante :
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